Depuis que le retour d’une certaine diversité de végétations et d’animaux figure dans les préoccupations prioritaires des pouvoirs publics urbains et d’un certain nombre d’habitants, qui l’appellent “biodiversité“. Et elle est très riche à Bruxelles ! Un dilemme commence cependant à voir le jour: pelouses ou prairies ?
Si les pelouses de nos parcs et jardins mettent leur gazon à disposition des siestes et des pique-niques des Bruxellois, leurs tontes régulières mettent à mal la floraison des plantes et des fleurs mellifères, qu’affectionnent les insectes et les oiseaux. Que faire ?
Ne pas tondre en mai est un début de solution. Réserver une moitié des pelouses aux loisirs et une autre moitié au développement de prairies protégées en est une plus fondamentale. Comme par exemple au Cinquantenaire ou au Parc de Bruxelles. Prairies protégées ? oui, parce que – contrairement au gazon- elles ne supportent pas d’être piétinées. Un bon compromis à la bruxelloise en vue ?
prairies protégées et sauvages

