Comment Bruxelles est devenue un havre de paix pour des musiciens néerlandophones décomplexés ? Bruzz se livre à une analyse fort intéressante sur l’évolution de la scène musicale néerlandophone à Bruxelles. La parole à deux musiciens, le reste est dans l’article, que vous pouvez traduire gratuitement avec DeepL.com
Maya Mertens: ” Le néerlandais est ma langue maternelle, c’est le choix le plus logique. Mais je ne suis pas un puriste qui tient à donner une place au néerlandais, je ne veux pas devenir un porte-drapeau du néerlandais. Je vois la langue comme quelque chose de mouvant. Quand je marche derrière des jeunes Bruxellois qui utilisent indifféremment le français, l’arabe et le néerlandais, je suis heureux “.
Alan Van Rompuy: ” J’utilise le néerlandais dans certaines de mes chansons, mais je ne me considère pas comme un artiste néerlandophone “. Comme avec ses amis, il passe du néerlandais au français et à l’anglais dans sa musique: un reflet de Bruxelles. ” La génération des baby-boomers reste attachée à l’importance du bilinguisme et choisit résolument le néerlandais en ville. Une histoire de Flamands bruxellois qui aiment faire entendre leur voix parce qu’ils se sentent discriminés. Mes pairs n’ont plus de chagrin à ce sujet “.
>>> Pour vous permettre de mieux profiter de vos congés, je vais vous laisser tranquilles jusqu’à nos retrouvailles le lundi 21 aout.
photo Bruzz © Fleur De Roeck
