L’espèce humaine, avec ses 8 milliards d’individus, constitue-t-elle une arme de destruction massive pour la nature, que “nous traitons comme des toilettes” ? C’est Antonio Guterres, le secrétaire général de l’ONU, qui l’a déclaré dramatiquement en ouverture de la COP15 sur la biodiversité à Montréal ? Que peut-on espérer de cette rencontre, à laquelle aucun chef d’Etat ne participe en dehors de Justin Trudeau ? L’article de la RTBF en dit plus sur ce possible « suicide par procuration ».
Pas réjouissant tout cela, même si fort peu contesté scientifiquement. Le futur de Bruxelles en dépendra bien évidemment aussi, même si la connaissance et la prise de conscience progressent pas à pas. La tâche d’information va devoir être enfin assurée par nos écoles et nos universités. La classe politique va devoir oser prendre les mesures nécessaires, même si elles sont très impopulaires. On l’a bien vu avec les contestations au plan Good Move, certes perfectible, mais fondamentalement indispensable.
Lisez bien jusqu’au bout : la Senne pourrait bientôt vous attaquer en justice ! Accorder des droits à la nature, la doter d’une personnalité juridique, afin qu’elle puisse se défendre en justice en son nom propre ? Ce projet percole actuellement dans plusieurs partis. Du jamais vu. Conférer des droits à un arbre, à une forêt, à un glacier ou encore à une rivière, revient à remettre à cause le principe même de la supériorité de l’homme sur la nature, de sa volonté de la maîtriser. Vous en saurez bien plus ICI.