14 objectifs, 64 mesures.

Bruxelles n’est pas une ville propre, la faute à ses services publics et à ses habitants. Alain Maron vient de lancer la mise en application de son plan pour que cela change. Il mise notamment sur la coordination (absente) entre les différents services communaux et régionaux, mais aussi sur des « Managers de la propreté » par zone, pour plus de cohérence. Il dégagera 80 millions en 3 ans pour que l’opération Clean Brussels arrive à ses fins.

Les sacs éventrés, les empilements de sacs aux coins de rues, l’absence de poubelles rigides, de mauvais jours de collecte pour les commerces, les rues salies après collecte, … autant de constats citoyens quotidiens, que les Managers de la propreté devraient confirmer et résoudre. La coordination entre Communes et Région devrait être enfin structurée. Des résultats devraient être visible avant la fin de l’année prochaine.

Sacs sortis le mauvais jours, mégots jetés en rue, dépôts clandestins, … les citoyens ont aussi leur responsabilité dans l’état de malpropreté de leur ville. Des actions éducatives sont prévues, y compris dans les écoles, mais aussi de la répression sous forme d’amendes, avec bientôt perception immédiate. BX1 et Bruzz en disent plus.

1 réflexion sur « 14 objectifs, 64 mesures. »

  1. Bernard

    Le problème est multi facettes…

    C’est vrai que parfois les déchets restent sur le trottoir car les ramasseurs d’immondices sont au « fini-fini », c’est-à-dire que quand ils ont fini leur boulot ils peuvent rentrer chez eux. Donc c’est le temps qui compte et pas la qualité du travail.

    Par ailleurs je me suis fait agresser verbalement à 23h00 un soir, par un inspecteur de la propreté, parce que j’avais mis du linge sale dans un sac bleu, linge sale que je transportais vers ma voiture.

    On ne s’en sors plus avec toutes des contraintes et ces arbitraires.

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