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Capitale pour Bruxelles, l’Union Européenne vacille. La crise des réfugiés, la menace italienne, le Brexit, le retour des nationalismes et du populisme mettent la fragilité de l’Union Européenne en évidence. Et pourtant si elle n’existait pas, il faudrait l’inventer. Reste donc à la ré-inventer.
C’est à cet exercice que s’est livré George Soros, milliardaire philanthrope, président du Soros Fund Management et des Open Society Foundations. Un lecteur nous fait parvenir sa carte blanche passionnante et passionnée publiée par L’Echo.
Pour lui, l’UE est confrontée à trois problématiques urgentes : la crise des réfugiés, une politique d’austérité qui entrave le développement économique européen, et une désintégration territoriale illustrée par le Brexit. Il propose des solutions. Peut-on ajouter que l’Europe n’arrive plus à faire rêver grand monde ?
Tout à fait d’accord. Une seule chose : il ne faut pas parler de crise des réfugiés (il y aura toujours des réfugiés ) mais de crise de la politique d’asile. C’est là le problème.
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