Le plan hiver s’est terminé avec le printemps. Ce lundi ce sont plus de 1000 personnes qui ont été contraintes de retourner dans la rue, comme le révèle BX1. Loin d’être printanier, vous souvenez vous des averses et des bourrasques de lundi et de la température sous les 10° ?
Bien sûr, nous ne pouvons pas héberger toute la misère du monde, mais puisque les centres d’hébergement existent, pourquoi fermer leur portes ? Ils sont là, à quoi vont-ils servir en attendant le prochain hiver ? Des femmes avec enfants se sont trouvées brutalement dans la rue. Insupportables pour elles et aussi pour nous.
Dans une des Régions les plus riches d’Europe, il n’est pas acceptable que des gens, qui ne le souhaitent pas, se retrouvent sans abri, alors que les infrastructures existent. Le sans-abrisme est un problème complexe, qui ne peut être traité de manière uniforme, mais en attendant, les Bruxellois ne doivent-ils pas exiger que des solutions temporaires soient trouvées pour venir en aide aux plus démunis et ne pas accepter que la rue soit leur dernier refuge ?
Vous avez tout à fait raison! Bien à vous, Denise GERE >
Vous avez raison, c’est absolument insupportable .
Et contraire à la politique « humaine » dont se targuent Francken et le gouvernement fédéral