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Le survol à basse altitude par les avions de Zaventem est l’objet de prises de position de plus en plus vives, particulièrement entre la Flandre, Bruxelles et les riverains. On parle de scandale d’Etat et de république bananière. Le ministre de la Mobilité est sur la sellette et prié de sortir son plan durable. Le Premier Ministre invité à reprendre le dossier et à trancher.
Pour tenter d’objectiver la situation, la ministre de l’Environnement bruxelloise a demandé une étude à l’ULB dont les résultats pourraient faire du bruit. Résumé ICI.

Qu’est-ce qui, au fil des années, a déterminé les choix des routes aériennes au départ et à l’arrivée de l’aéroport de Bruxelles par les autorités nationales, puis fédérales ? (et donc déterminé le nombre de citoyens exposés). Ni les recommandations de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI), ni les règles environnementales de la Région bruxelloise en matière de nuisances sonores, mais une succession de décisions subjectives, partisanes, voire manipulées en toute discrétion par des intérêts particuliers. (Le Soir).

La ministre Céline Fremault (CDH) compte adresser cette étude très rapidement au ministre fédéral de la Mobilité François Bellot (MR). Voilà ce qu’en disent deux  articles  du Soir.
L’étude sera consultable dans son intégralité dans les jours qui viennent sur le site Internet de Bruxelles Environnement.