Désobéissance civile

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A qui et à quoi obéit-on ? De gré, à regret ou de force ? Qui édicte les règles ? Quelles sont les autorités légitimes ? Quand s’impose le devoir de désobéissance civile ?

Il y aurait sans doute un peu moins d’horreurs sur terre si l’ensemble des humains et des institutions obéissaient aux principes prescrits par les chartes de droits fondamentaux. Le respect  de règles de vie en commun, d’une certaine discipline s’avèrent nécessaire à la construction d’un monde plus juste. Mais cela passe aussi par les remises en question des sources d’injustice, par la capacité de révolte et la désobéissance à certains ordres dangereux, absurdes ou obsolètes. Quand toutes les démarches démocratiques ont échoué, il reste la désobéissance civile.

L’histoire a révélé où menaient les excès d’obéissance et c’est grâce au courage de nombreux désobéissants qu’elle a souvent pu progresser. Quels sont alors les enjeux, la légitimité, les conditions et les conséquences de la désobéissance ?

Fidèle à ses engagements et dans la continuité de ses précédentes réflexions, le VrijheidsFestival des Libertés mettra en débat et en scène ce qui nous fait obéir ou désobéir.
Le programme s’étale du 16 au 25 octobre au Théâtre National et au KVS et vaut la peine d’être consulté.

3 réflexions sur « Désobéissance civile »

  1. Bruno de Halleux

    Oui cfr l’anecdote d’une employée de la Commission européenne qui nous explique le fonctionnement d’un écouteur pour la visite des lieux et qui dit aux visiteurs présents : « Pour une fois je vous demande de ne pas suivre ce que vous dit la machine » !!!

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