10% de postes alloués aux Bruxellois

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 » tvbrussel  » communique: 90% des 3.400 collaborateurs de l’hôpital universitaire UZ de Jette habitent en Flandre. Dommage pour les demandeurs d’emploi bruxellois et pour les problèmes de mobilité que cela suppose.

L’obstacle à l’engagement d’employés bruxellois réside évidemment dans la connaissance du néerlandais, indispensable pour bien servir les patients essentiellement néerlandophones. L’hôpital tente d’y remédier en organisant pendant les pauses de midi des tables de conversations destinées aux personnes engagées qui doivent encore perfectionner leur connaissance du néerlandais.

A quand des écoles bruxelloises capables de délivrer des diplômés qui maîtrisent au moins le français et le néerlandais ?

En attendant la liste des Bruxellois sans emploi s’allonge et nos deux Communautés tardent (c’est un euphémisme) à développer des classes d’immersion, à échanger leurs professeurs de néerlandais et de français et à imposer l’école gardienne obligatoire à Bruxelles.

2 réflexions sur « 10% de postes alloués aux Bruxellois »

  1. Matthieu

    L’enseignement Bruxellois devrait etre a minima bilingue, idealement trilingue (Anglais). Les communautes aujourd’hui en charge ne semblent y voir aucune priorite. Les politiques non plus. Mais l’economie est demandeuse, et ces memes politiques qui ont cree deux enseignements monolingues se plaignent de ne pas avoir de travailleurs bilingues.
    Est il possible que l’enseignement tombe dans le giron des regions? Libre aux flamands et wallons de garder leur systeme. Un enseignement bilingue de qualite a Bruxelles serait une vraie difference pour les habitants, et probablement attirant aussi pour les habitants de la peripherie qui seraient alors peut etre tentes de regagner la ville (et d’y payer leurs impots…)

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  2. Christine Meulenijzer

    bravo pour votre newsletter que je suis avec attention : je suis tout à fait d’accord avec les points de vue développés, mais un constat n’est pas suffisant : il est temps que les Bruxellois prennent leur destin en main et se libèrent – autant que faire se peut – des autres régions : décidons nous-même de ce que nous souhaitons pour l’enseignement à Bruxelles et, oui, nous devons être bilingues et oui, il faut que les emplois à Bruxelles puissent être postulés pas des Bruxellois : moins de chômage, moins de pauvreté, moins de navettes… que des avantages pour les Bruxellois ! alors, qu’attendons-nous ?????????

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