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C’est Guy Vanhengel (open VLD) qui le dit à Brusselnieuws à propos du manque d’investissement de la Flandre dans l’enseignement néerlandophone bruxellois. Et même si l’approche des élections et son inimité farouche vis à vis de Pascal Smet (SP.A) doit nous rendre prudents, le diagnostic est alarmant. Même des enfants issus de familles bruxelloises néerlandophones (prioritaires) risquent de ne pas trouver de place et les plus fragiles vont tomber du bateau. Malgré les 48 millions investis par la bruxelloise VGC en 4 ans,  c’est près de 400 enfants qui risquent cette année de ne pas trouver de place dans l’école de leur choix. Leur chance d’être accueillis dans une autre école bruxelloise est très faible.
Elke Van den Brandt et Elisabeth Meuleman (Groen) se disent aussi inquiètes suite au manque  d’investissement de la Flandre. Elles craignent qu’il ne soit plus possible de maintenir de jeunes familles néerlandophones à Bruxelles si elles ne trouvent pas d’école pour leurs enfants.
Pascal Smet se défend dans une réplique et estime que Bruxelles n’a pas joué le rôle de coordinateur qui lui revient.