Un guide pour l’Education à la Vie Relationnelle, Affective & Sexuelle (EVRAS) a l’usage des animateurs aété adopté par les parlementaires de la Fédération Wallonie Bruxelles. Sur les réseaux sociaux comme dans la rue, fusent de nombreuses critiques et des craintes émises par des parents et des associations. Pour des raisons religieuses ou morales, ils ne veulent pas de ce programme de deux heures en 6e primaire et en 4e secondaire. Suite à ces réactions, la formulation des passages jugés problématiques sera revue.
Instruire les jeunes est un devoir pour l’école. Pour les parents il y a obligation à permettre à leurs enfants de recevoir cet enseignement, dont le contenu a été voté à la quasi unanimité. Un lecteur s’inquiète de la violence de certaines réactions qui confinent à la barbarie, quand le feu est mis à certains établissements. Il s’inquiète aussi de l’attitude qui sera de mise lorsque certains enfants seront absents ou « malades » lors du déroulement de ces animations.
Dans la synthèse du message de ce lecteur, vous trouverez également des liens vers des articles de presse, ainsi que l’évocation d’une similitude avec « l’absence » du roi Baudouin pour des raisons religieuses, lors du vote de la loi dépénalisant l’avortement. Avec ce que les enfants peuvent entendre de leurs copains et copines, voir dans la rue ou découvrir sur internet, n’est-il pas indispensable que l’école puisse faire le point et réponde à leurs questions ? Le Soir se penche sur les critiques, fondées ou pas.
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Comparer la dépénalisation de l’avortement et l’Evras me semble inadmissible !