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Les travaux s’éternisent, ou plus exactement ne commencent pas. Les chantiers ouverts ne concernent que les déplacements de câbles et conduits et bientôt les travaux d’étanchéité du métro. Didier Reynders a annoncé qu’il va introduire la demande de permis début 2017.
La Ville a produit une nouvelle simulation qu’on trouve ICI, mais pourquoi ne pas réaliser un tronçon témoin – dès à présent – pour donner une idée du résultat final et tester les matériaux ?
Les premiers résultats de l’observatoire de recherche du Brussels Studies Institute-Brussels Centre Observatory seront discutés au cours de deux ateliers organisés par la Brussels Academy le 27 janvier à 18 h, au Beursschouwburg, rue Orts, 20-28, à 1000 Bruxelles. Une deuxième rencontre aura lieu le 2 février. C’est gratuit et sans inscription. Infos sur http://bco.bsi-brussels.be
Bien dit.
Un autre cycliste au quotidien.
En tant que cycliste quotidienne, je ne suis pas très emballée par le choix de la pierre bleue comme revêtement de sol pour le piétonnier. Même si elle est striée, la pierre bleue finit par s’user et devenir trop lisse, et – pour avoir déjà vécu une chute spectaculaire et douloureuse sur ce revêtement – je peux témoigner que la pierre bleue, surtout quand elle est mouillée par la pluie ou la neige, c’est très casse-g….., même pour les cyclistes aguerris, à l’instar d’ailleurs des pavés naturels, choisis pour des raisons soi-disant “esthétiques”, mais périlleux pour les cyclistes dès qu’ils sont sales, gras, mouillés ou descellés. Je constate régulièrement que bon nombre d’aménagements et de matériaux sont choisis par des architectes ou urbanistes sans doute bien intentionnés mais qui ne roulent guère et jamais à vélo en ville. Les détracteurs du vélo seront alors confortés dans leur conviction que “le vélo, c’est dangereux”.