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Ont-ils démérité dans leur travail de terrain pour l’intégration des personnes issues de l’immigration ? Non, au contraire, leur travail spécifique en terrain bruxellois est apprécié par tous les observateurs impartiaux et par la presse. Mais voilà, il faut qu’ils rejoignent la “Vlaamse Agentchap” pour continuer à être financés et ils y jouiront “de conditions spécifiques pour Bruxelles” …
Voilà ce que Brigitte Grouwels en pense:
“Volgens VGC-collegelid Brigitte Grouwels (CD&V) is de situatie in Brussel zo specifiek dat het weinig zinvol is om inburgering en integratie vanuit een Vlaams Agentschap te organiseren. Brussel is tweetalig, Bovendien willen de Franstaligen nu ook een inburgeringsbeleid op poten zetten. Om die reden was Grouwels geen voorstander van de operatie” (BDW).
Mais pour le Gouvernement flamand aussi, Bruxelles doit rester une terre de mission contrôlée par lui. Il semble faire de moins en moins confiance aux Bruxellois néerlandophones, ces “Dansaert-Vlamingen”, comme les appelle le bourgmestre de Louvain, qui négligent un peu trop la main qui les nourrit. Mais Pascal Smet se réjouit de ce compromis qui arrive dit-il à préserver la spécificité des deux associations fusionnées. Voir aussi ces articles de BDW en De Morgen