La rencontre de ce mercredi s’est résumée à un constat d’échec. Il n’y a plus de pilote dans l’avion, mais malgré le refus de l’Open VLD – les six partis restants ont décidé de se revoir lundi pour parler budget, sans majorité dans l’aile néerlandophone. C’est l’article d’Olivier Mouton dans Trends Tendances qui nous semble résumer le mieux la situation et tracer de minimes pistes d’avenir.
“Il faut en finir avec cette histoire de “avec qui”, “sans qui”. Bruxelles mérite que l’on parle d’un projet pour elle”, estime Elke Van den Brandt. “Bruxelles est dans une crise trop grave, s’indigne Christophe De Beukelaer. Tout le pays nous regarde. Nous avons une obligation commune de résultat. Refuser le dialogue et jouer à la chaise vide n’amèneront aucune solution.”
Une tutelle fédérale en raison d’un marasme budgétaire trop importante est-elle la seule issue? Se demande Georges-Louis Bouchez, faute de solution d’ici juin. A l’arrivée à la réunion il avait annoncé qu’il proposerait une solution, visiblement sans que cela ne provoque de percée. Un gouvernement minoritaire dans le groupe linguistique finira-t-il par voir le jour? Nous n’en parlerons plus avant mardi prochain. Promis.
