Ouverture au changement.

On l’a suffisamment constaté et épinglé, la lasagne institutionnelle bruxelloise pèse lourd et coûte cher aux Bruxellois. Plusieurs CPAS communaux sont  complètement débordés, le Quartier Midi se trouve sur trois zones de Police, les communes les plus riches ont les taxes les plus basses, l’intercommunale Vivaqua est au bord du gouffre, … N’est-il pas temps de s’interroger ? De s’ouvrir au changement ?

« Les Bruxellois francophones sont hantés par le risque d’une perte de pouvoir des communes au profit de la Région, où les Flamands bénéficient d’une représentation garantie. Toute réforme du fonctionnement des communes, des CPAS, des zones de police ou des intercommunales est lue comme une tentative flamande de conquérir Bruxelles et d’y acquérir un poids démesuré par rapport à la démographie de la capitale ». Voilà les propos que publie Le Soir, qui en dit plus. Et BX1 esquisse de fragiles propositions.

La note des partis néerlandophones bruxellois candidats au pouvoir n’est que l’addition des attentes de ces quatre partis. Confrontée à celle des francophones (même pas en gestation), il faudra voir ce qu’il en restera dans l’accord de gouvernement à conclure. Cela suppose une mise à plat de la situation et l’examen minutieux des solutions les plus efficaces et les moins coûteuses, en ces temps de vaches maigres. Le peuple de Bruxelles s’impatiente …

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