Après Valence, Bruxelles ? Des événements climatiques extrêmes, provoqués par le dérèglement climatique ont causé la mort de 308 morts et disparus dans la région de Valence et des dégâts encore inestimables. Sans gouvernement, que se passerait-il si des pluies aussi abondantes venaient à tomber sur Bruxelles ? Le territoire bruxellois est-il en mesure d’absorber de telles quantités d’eau d’un coup ? Qu’est-ce qui est mis en place pour éviter le pire ?
Il n’y a pas qu’à Valence et Malaga que s’abattent des trombes d’eau. La Flandre et la Wallonie ont déjà connu des inondations dramatiques et onéreuses. Jusque-là, Bruxelles semble à l’abri. Pourtant ses profondes vallées sont inondables, vu leur sol largement imperméabilisé et vu les véritables torrents qui pourraient s’y déverser. A Bruxelles, un habitant sur trois vit dans une zone inondable. La VRT y consacre un article en français et Le Soir démontre qu’on n’est pas prêts à y faire face.
L’administration de l’Environnement a établi des cartes très précises et affirme qu’un plan bruxellois peut être attendu pour septembre 2025. Si la Région doit absolument anticiper sur une telle situation, il est aussi vital d’impliquer le citoyen dans ce processus. Des initiatives locales auront aussi toute leur importance. Bruxelles Environnement donne plusieurs conseils aux particuliers.
Valence après le drame. photo philomag
