Sous la gare centrale circulent des trains, mais au-dessus de celle-ci, se déploie le plus grand campus numérique du pays et d’Europe. Le départ de son CEO Laurent Hublet, ce « bekende » francophone économiste et philosophe visionnaire, fournit l’occasion de mettre le projecteur sur BeCentral, qu’il a fondé à 33 ans parce qu’il pensait que cette ville internationale était probablement le meilleur labo pour élaborer les technologies de demain.
BeCentral se développe pour devenir une sorte de propulseur de talents, d’idées et de projets créé par les meilleurs techniciens la tech belge. Aujourd’hui 667 personnes travaillent à BeCentral. Ils auraient formé près de 600 000 personnes en Belgique, dont 6.200 nouveaux nouveaux professionnels du numérique. Leurs diplômés sont plus recherchés que jamais par les employeurs de tout le pays et même de l’étranger. Près d’un millier de personnes s’y retrouvent chaque jour dans le cadre de l’apprentissage et de l’entrepreneuriat.
« Notre mission est de faire de chacun d’eux des acteurs de la révolution digitale ». Même sans diplômes, des jeunes doués peuvent y accéder et développer leur potentiel dans cette ruche bourdonnante. Il existe aussi une Fondation Be Central qui aide les enfants à rêver leur avenir et à développer leur créativité, leur esprit critique, leur sens de la collaboration, leur capacité à résoudre des problèmes et leur culture numérique. Bruxelles peut être fière d’accueillir BeCentral.


Ce qui me gêne un peu, c’est que la première enseigne qu’on voit quand on clique sur BeCentral, c’est Google 🙁