De plus en plus répandue à Bruxelles, la location et l’occupation d’un même logement par plusieurs colocataires est aussi un mode de vie choisi par des étudiants et des jeunes travailleurs, parfois aussi contraints, par les loyers de plus en plus élevés dans la capitale. Il nécessite un pacte de colocation avant la signature d’un contrat de bail bien spécifique.
Des promoteurs ont aussi pressentis cette nouvelle vague en mettant sur le marché de grandes demeures aménagées avec des espaces communs variés et un certain nombre de chambres mise en location. Même les banques s’y intéressent. Alternatives Economiques se livre à une analyse assez sévère, basée notamment sur l’expérience bruxelloise. L’IRIB y consacrera un débat le 15 juin de 12 à 14h.
Comme toute initiative novatrice, il va falloir que coliving se voit imposer un cadre légal destiné éviter les abus. Que la formule soit lucrative et pas accessible à tous ne fait pas de doute, mais qu’attend le secteur public pour produire ce type de logement à des prix plus réduits ? Quant à dire que le coliving retire des logements du marché, il semble plutôt qu’il fasse une occupation très dense de grandes demeures à l’abandon ou largement sous-occupées.
Bien d’accord avec Robert V.
Quant à Vic et ses propos désobligeants pour toi, Yvan (sale gauchiste !!!!), et ses affirmations non argumentées, je lui adresse tout mon mépris et je te remercie encore une fois pour ton blog précieux.
Je serai aux midis de l’IRIB et je suis sûre que Vic n’osera pas s’y pointer pour défendre oralement ses propos stupides devant des intellectuels éveillés.
Il ne faut confondre “colocation” et “coliving”.
La “colocation”, plus communément appelée “coloc”, est la location par un petit groupe d’amis – qui se choisissent et sont solidairement responsables – d’une maison ou d’un grand appartement pour y vivre ensemble, avec l’avantage d’un loyer très accessible. Il s’agit d’un mode de vie alternatif, se contentant d’un confort relativement limité et mettant l’accent sur la convivialité.
Le “coliving” est la location individuelle d’une chambre meublée, généralement avec sanitaires privés et espaces communs et équipements confortables – voire luxueux – à un promoteur (ou à un simple propriétaire qui a compris l’intérêt financier du filon à exploiter) qui tirent un profit maximum d’un bien qui n’est dès lors plus accessible qu’à qui peut se le payer.
Une fois de plus, un mode de vie alternatif initié par des jeunes en recherche de simplicité et de convivialité est récupéré par le business.
N’oublions que les très recherchés et très couteux lofts étaient, à l’origine, des espaces industriels désaffectés occupés par des artistes et des jeunes ayant choisi de vivre “à la marge “.
Quel raisonnement stupide et mal réfléchi. Ces horribles propriétaires qui osent louer leur bien..comme c’est sale de faire de l’argent…mais comme c’est bien venu pour payer les impôts.. les charges.. les travaux…les isolations et améliorer les PEB . Cher monsieur allez vivre à l’Est ou en Chine communiste…ce sont des paradis bien connus pour rendre l’ homme heureux..prospère et libre. Quittez cette Belgique ou visiblement vs êtes mal ds votre peau …mais sont- ce la Belgique et les propriétaires qui en sont responsables??
Soyez propriétaire…soyez patron..soyez leader ..responsable de quelque chose..afin de créer des emplois.. rénover votre bien..diriger une équipe… de foot !
Ou seriez- vs sans cette race de gens que vs critiquez?? Connaissez vous des employés sans patron…une équipe sans dirigeant ..un immobilier sans propriétaire ?
Vs vs plaignez la bouche pleine comme tous ces ayatollahs écolos qui comptent sur l’état et ses généreux bienfaits .
Expatriez- vs vite…et surtout…ne vous reproduisez pas.