Happy Monday: une créativité gagnante

Mohamed Sebbarh a 23  ans et désireux de terminer son master d’anglais en sciences commerciales au campus KUL Odissee à Bruxelles. Cela ne l’a pas empêché de créer sa propre entreprise de systèmes d’alarme à 20 ans. Aujourd’hui c’est à la réparation de téléphones à domicile qu’il consacre son énergie. Le confinement a été le déclencheur de son projet qu’un article de Bruzz détaille et traduit pour vous ICI.

Avec son “ambulance”, l’étudiant-entrepreneur réanime votre smartphone sur place en moins de 15 minutes dans la plupart des cas et cela 24h sur 24. Il effectue aujourd’hui 80 à 120 réparations par jour. Lorsqu’il s’agit de la carte mère, il faut procéder à une microsoudure en atelier. Peu de personnes maîtrisent cette technique à Bruxelles. Il y a quatre mois, Seb n’a pas hésité à envoyer trois techniciens au Maroc pour apprendre le métier.

La clé du succès de son entreprise ? Il est très présent sur les médias sociaux avec Seb Telecom. Son marketing se fait via les influenceurs, Instagram, Snapchat, etc. A Bruxelles la plupart des jeunes connaissent Seb. Aujourd’hui, il dispose de 7 camionnettes et a engagé 9 personnes. A terme, il veut s’étendre en Flandre et en Wallonie et rêve de conquérir l’Espagne, le Maroc et Dubaï. Vous avez dit success story (1) ?

Photo de Ivan Put dans l’article de Bruzz

photo Ivan Put

(1) La locution anglo-américaine « success story » tend à se répandre largement en France et en Belgique. C’est un récit ou une analyse, à la fois chronologique et synthétique, de la réussite d’une personne qu’on souhaite présenter comme modèle.

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.