Un droit à l’eau.

L’eau n’est pas une marchandise. Tout comme l’air, l’eau est une ressource essentielle indispensable à tout être humain. Chacun devrait être assuré d’avoir accès à de l’eau potable. Comment font les personnes sans domicile fixe ? ou les demandeurs d’asile ? En cette période de fortes chaleurs, la question se pose avec  plus d’acuité.

Il y a longtemps que les habitants de la ville n’ont plus accès à l’eau d’une source qui surgit naturellement du sol à certains endroits. Les sources ont été canalisées et leur eau potable s’est écoulée dans les différentes fontaines de la ville, dont Manneken Pis ou le Cracheur restent des témoins. Aujourd’hui, notre eau potable vient de loin et surtout de la Meuse. Tous les Bruxellois y ont accès … pour autant qu’ils payent leur facture à Vivaqua. Si le prix du m3 est élevé, c’est qu’il comporte de lourdes infrastructures, mais aussi les frais d’épuration des eaux usées.

Des points d’eau publics mettent cependant de l’eau potable à disposition de tous gratuitement  … et même pétillante au siège de Vivaqua à côté de la gare centrale ! Si le pentagone en compte 30, les 18 autres communes n’en alignent, toutes ensemble, que 63 pour 1.200 à Paris. Les Infirmiers de rue ont dressé la carte de nos points d’eau. Vivaqua et les autorités se sont engagés à les multiplier: 100 de plus d’ici 2025. Cet article du Soir et celui de BX1 en disent plus sur ces perspectives d’avenir.

Photo de l’article de BX1

1 réflexion sur « Un droit à l’eau. »

  1. Marie-Françoise CORDEMANS

    Pour info, via Futura – Explorer le monde : Warka Water, l’incroyable structure en bambou (vidéo)
    500K views, 10K likes, 2.5K loves, 199 comments, 9.5K shares, Facebook Watch Videos from Futura – Explorer le monde

    Cette étonnante tour en bambou “capture” l’humidité ambiante pour en faire de l’eau potable !
    Cette invention peut changer la vie des populations n’ayant pas encore accès à l’eau courante.
    Ce dispositif a été conçu par l’Italien Arturo Vittori après avoir fait un voyage en Éthiopie.
    “J’ai vu des femmes et des enfants parcourir des kilomètres à pied pour ramener de l’eau…” – A.V
    Cette tour peut récolter en moyenne près de 100 litres d’eau par jour.
    Elle ne nécessite que des matériaux de moindre coût pour un prix total à moins de 1.000 euros.
    Une architecture qui a été imaginée pour s’adapter au paysage.

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