Le goût du bonheur

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Les marches des jeunes pour le climat à Bruxelles et de par le monde ont démontré que les jeunes ne perdent pas leurs illusions. Ce n’est pas naïf, c’est formidable ! « Ils savent que le bonheur existe. Ils y ont déjà un peu goûté. Pouvons-nous risquer de les faire changer d’avis ? de leur faire perdre le goût du bonheur ? » (1).

La banquise et les glaciers fondent plus vite que prévu, des conflits armés autour du lac Tchad sont liés à son assèchement et nos crevettes grises commencent à déserter la mer du Nord, qui s’est réchauffée de 1,7 degrés en 50 ans. Chaque jour, de nouvelles découvertes scientifiques confirment des changements climatiques en cours. Ils ne sont pas contestables et inquiétants. Les canicules à répétition en sont un avant-goût. Mais stop au catastrophisme, la bonne nouvelle c’est qu’ils ne sont (pas encore) irréversibles. Pas de place au bonheur béat, va falloir agir et vite.

La vague verte en Europe, en Belgique et à Bruxelles a redonné de l’espoir, surtout dans les villes. Les élus verts, et les coalitions dont ils feront partie, ne pourront se permettre de nous décevoir, ni de faire perdre ses illusions à la jeune génération. Selon Les Echos, même l’Amérique de Trump change, grâce aux élus urbains qui résistent et d’un certain nombre d’entreprises qui ont compris leur intérêt à long terme.

(1) je ne sais plus où j’ai recopié cette phrase, pour le soumette à vos réflexions

 

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