Un enseignement qui ne favorise pas le multilinguisme

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Face à la pauvre qualité de l’enseignement du néerlandais dans les écoles francophones de Bruxelles, un nombre croissant de parents inscrivent leurs enfants dans l’enseignement néerlandophone bruxellois et même dans la périphérie de Bruxelles, faute de places.

En périphérie, la riposte se prépare, c’est Bruzz qui le déclare ICI. Dans Le Soir, Bernard Demonty écrit : L’affaire n’a pas fait grand bruit, mais pourrait susciter la controverse : le gouvernement flamand s’est entendu au début de ce mois pour mettre en place un dispositif permettant de donner priorité aux familles flamandes dans les écoles néerlandophones de la périphérie. Il s’agit d’un accord de principe. Reste à trouver le mécanisme juridique qui le permettra. Vous lirez la suite ICI.

Quand il y a 80 % de francophones et seulement 20 % de néerlandophones dans certaines écoles, le risque est grand de leur faire perdre leur caractère néerlandophone. « Or le néerlandais ne s’apprend pas seulement au contact du professeur, souligne Jo De Ro, député flamand et échevin de l’enseignement à Vilvorde. Il s’apprend aussi au contact des autres élèves. »

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