La COCOF en question

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Il était temps, si l’on veut s’attaquer au mille-feuilles bruxellois, mais ce qui surprend, c’est que c’est la personne qui préside l’institution qui ose donner un coup de pied dans la fourmilière. Moi je ne suis pas surpris, ayant rencontré Julie de Groote à plusieurs reprises, elle ne m’a jamais caché son intention de mettre fin à la Cocof, sans se soucier de la discipline de groupe, de la plupart des groupes.

Ce n’est pas encore fait, ce n’est pas si simple de redistribuer les compétences qui sont les siennes, mais c’est à la portée du parlement, qui ne manque pas une occasion de dénoncer la complexité des institutions bruxelloises.

Julie de Groote a raison de mettre la question sur la table avant les élections. Merci à son courage. Les électeurs ont le droit de connaître la position des partis avant de leur attribuer leur voix. Et dans ce cas, c’est oui ou c’est non. La langue de bois et les « oui mais » ne sont pas de mise. Le Soir en dit plus.

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