Drugrooms à Bruxelles ?

________________________________

Quittez le métro en soirée – non plus à la Bourse – mais plutôt à la station Ribaucourt, pour être témoin de “scènes ouvertes” de consommation dans les couloirs et escaliers. La confrontation est brutale.

Que faire pour eux et pour nous ?
Dans La Libre, la ministre bruxelloise (Défi) de la Santé, Cécile Jodogne, s’est clairement prononcée en faveur de l’ouverture d’une salle de shoot sur le territoire de la région. “La consommation de drogues dans un lieu prévu à cet effet, où les usagers peuvent recevoir des seringues propres, permet de réduire les risques sanitaires comme la transmission de l’hépatite C“.

Ces lieux permettent par ailleurs de rester en contact avec les consommateurs très précarisés et de les réintégrer dans un circuit d’aide psycho-médico-sociaux. L’Institut de recherche santé et société de l’UCL s’est aussi penché sur la question. Il existe 90 dispositifs de moindre risques en Europe, ils ont largement prouvé leur utilité, mais toujours rien à Bruxelles. Les raisons sont développées ICI et encore LA.

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.