L’habitat groupé, une réponse à la crise du logement

____________________________________

Le logement privé est souvent trop cher, le logement social insuffisant et souvent vétuste, habiter à plusieurs peut être une réponse à la crise du logement et à un individualisme qui a ses limites. Une nouvelle forme d’habitat qui est aujourd’hui reconnu et devrait être encouragé au même titre que le partage de voitures ou de vélos.

L’habitat groupé est un lieu de vie à construire ou à rénover où cohabitent plusieurs entités (familles ou personnes) avec des espaces privatifs et des espaces collectifs partagés. L’habitat groupé est caractérisé par l’auto-gestion. Il entend favoriser l’épanouissement de la vie sociale (au travers des espaces communs) sans altérer l’épanouissement de l’individu (au travers de sa sphère privée). Vous en saurez plus ICI et puis aussi LA.

Si le principe de l’habitat groupé est reconnu, sa mise en œuvre pose encore de nombreux problèmes tant sur le plan juridique que financier. Une matinée d’étude – dont voici le programme – va être consacrée à livrer des solutions concrètes à des questions telles que les partenariats financiers, le statut des isolés et des cohabitants, le choix de la forme juridique à adopter,  les types de baux, ….
Cela se passera à l’Université Saint-Louis, le vendredi 28 avril de 8h30 à 13:30. C’est gratuit mais il faut s’inscrire ICI.

1 réflexion sur « L’habitat groupé, une réponse à la crise du logement »

  1. Veronique de Potter

    Si je suis tout à fait favorable à un habitat groupé bien conçu et bien pensé avec des occupants au comportement civique, j’ai en revanche un problème avec les colocations improvisées dans des grandes maisons qui étaient au départ unifamiliales, après avoir subi (le mot est faible) à deux reprises des groupes de jeunes voisins, étudiants ou déjà travailleurs actifs, sans enfants, très portés sur la fête, sans horaires « classiques », faisant des soirées et BBQ arrosés jusqu’aux petites heures, tant en semaine que le weekend, empêchant mes enfants de dormir et d’étudier, m’obligeant à appeler constamment la police ou à interpeller le propriétaire, vu l’absence totale d’éducation et de respect pour autrui de ces colocataires et leur complète « surdité » à mes démarches et requêtes (de moins en moins) courtoises (quand je me suis entendu dire: mais pourquoi vous n’allez pas à la campagne si vous vous du calme?). Je n’ai appris que plus/trop tard que la réglementation impose des baux de location distincts et enregistrés pour les différents occupants de ces « auberges espagnoles ».

    Répondre

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.