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C’est une des conclusions de la Brussels Summer University si les Bruxellois veulent un projet commun qui n’exclut personne.  » Les attentats n’ont pas été une coupure mais le révélateur d’une situation instable et d’une islamophobie qui cache de moins en moins son nom. Faudra se créer un nouvel imaginaire pour s’en sortir par le haut et ne pas se réfugier dans une frileuse retraite sécuritaire. Nous sommes un laboratoire utile pour l’avenir d’autres villes. Bruxelles compte trop de gouvernements et pas assez de gouvernance. »

Résumer une journée riche en débats avec près de 150 participants actifs en un paragraphe est nécessairement réducteur. C’est pourquoi j’y consacrerai une prochaine rubrique qui permettra aux absents de se faire une idée du déroulement de cette journée de rentrée de la société civile bruxelloise.

Dès à présent, voilà le communiqué de presse en français en in het Nederlands et le contenu bilingue de l’appel à idées pour débloquer Bruxelles présentées en 6 minutes chacun par 11 Bruxelloises et Bruxellois actifs et motivés. Pratiquement tous les projets évoqués ont été approuvés à une large majorité et même parfois à l’unanimité par l’assemblée finale.

atelier Laïcité et diversité religieuse à Bruxelles