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Et si Olivier Maingain, Bernard Clerfayt, Isabelle Durant, Didier Gosuin, Georges Dallemagne, Céline Frémault se regroupaient autour d’un projet politique commun à Bruxelles en vue des régionales de 2019 ? Un parti politique bruxellois nouveau pour sortir des sentiers battus ? Après le succès inattendu du film “Demain” (plus de 100 000 entrées en Belgique) pourquoi ne pas proposer un alliage d’utopie et de solutions concrètes ?
Officiellement, il n’est pas question de tout cela. Cependant, pour ceux qui craignent que les élections fédérales de 2019 se limitent à une campagne clivée gauche-droite, c’est un scénario fou auquel il n’est pas interdit de penser, pareil pour des Jean-Michel Javaux et des Benoît Lutgen.
La Libre pose des questions, interroge quelques ténors. A ce stade, il n’y a pas de parti en gestation, ni même un début de coordination. Juste une réflexion partagée par des individus qui sont des adversaires politiques dans la vie courante. Certains d’entre eux se parlent. D’autres mûrissent la question en solitaire, ignorant qu’ils ne sont pas seuls à plancher sur le sujet. “Quand on compare les projets du cdH, d’Ecolo et de Défi, les différences s’avèrent assez faibles, énonce-t-il. Faire l’exercice d’établir un programme commun, ça vaudrait la peine.” (Philippe Maystadt).
Très juste : les flamands authentiquement bruxellois doivent avoir leurs places.
Un parti bruxellois composé d’hommes politiques “nationaux” qui cesseraient enfin de devoir être inféodés à des présidents plus préoccupés par la Flandre ou la Wallonie que par Bruxelles ?
C’est une véritable nécessité et ce serait une vraie (r)évolution !
En effet, pourquoi, cela éviterait beaucoup de discussions.
Pourquoi aucun parti flamand n’est-il cité ? Il n’est pourtant pas si difficile que cela de trouver des Flamands bruxellois de bonne volonté qui verraient l’intérêt d’un projet commun pour Bruxelles sans céder aux sirènes du séparatisme…
Il me semble que ce serait une bonne solution