Benoît Van Innis, à qui l’on doit les oeuvres qui donnent vie à la station Maelbeek, s’est rendu sur place pour se rendre compte des dégâts. Contrairement à ceux causés à l’aéroport, les dégâts matériels sont limités. Il aurait préféré que son travail soit détruit plutôt que d’innocentes victimes, selon le propos rapportés par Brusselnieuws
C’est à la sortie vers la chaussée d’Etterbeek que son travail a été le plus endommagé. Plutôt que de le restaurer à l’identique, son projet serait d’y installer une nouvelle oeuvre. Une évocation poétique du massacre dans son style et peut-être la date de l’attentat.
Si la STIB et Bruxelles Mobilité acceptent son projet, il pourrait être réalisé d’ici le mois de juin.
C’est sans doute dans ces murs que la mémoire des victimes se doit d’être protégée et la poésie est certainement la meilleure manière de l’exprimer.
(photo Van Innis)
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C’est une bonne idée. Courage à l’artiste, qu’il garde sa fraîcheur dans une œuvre aussi délicate.