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L’habitat groupé est né au Danemark dans les années 70 et connaît un manifeste regain d’intérêt. La crise du logement, la hausse des prix de l’énergie et un certain effritement des structures familiales n’y sont pas étrangers. A côté de la co-location, se développe aussi ce nouveau mode de vie plus solidaire.

L’habitat groupé n’implique pas nécessairement l’exode urbain. A Haren, une
nouvelle maison passive abrite depuis peu cinq ménages. Biplan intègre plusieurs terrasses, un jardin et un salon commun. Une parfaite isolation acoustique permet aux familles et aux célibataires de mener leur vie sans empiéter sur celle des autres. Certains partagent des repas, d’autres pas. « Sans cette mode d’acquisition commune, je n’aurais jamais pu avoir un tel appartement moderne avec un grand jardin », commente Virginie, 38 ans, célibataire. Et à Forest c’est Brutopia qui se développe.

Habitat et Participation organise une visite de ces 2 habitats groupés passifs. Brutopia et Biplan vous montreront aussi comment s’organise la vie en habitat groupé, les liens de solidarité qui s’y créent entre voisins et les aspects pratiques de ce mode d’habitat entre les parties individuelles et les parties communes.

C’est ce dimanche 15 novembre de 9h00 à 12h30. C’est gratuit mais il faut s’inscrire ICI.