Panique à l’Urbanisme

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L’Echo fait le point sur les raisons de 4 mois d’arriérés à l’Urbanisme de la Ville. Il affirme que l’or­don­nance qui a mo­di­fié le Code bruxel­lois de l’amé­na­ge­ment du ter­ri­toire (Cobat) est en train de por­ter un coup au mar­ché im­mo­bi­lier bruxel­lois. Le but était de mieux in­for­mer les ac­qué­reurs, mais cela im­pose aux pro­prié­taires de four­nir une longue liste de ren­sei­gne­ments ur­ba­nis­tiques lors de la mise en vente d’un bien. Les com­munes n’ar­rivent pas à suivre le flot des de­mandes et les tran­sac­tions ra­len­tissent. L’Urbanisme à la Ville de Bruxelles a vu une ex­plo­sion de sa charge de tra­vail de 1.200% ! Comment en sortir ?

La situation n’a pas en­core eu d’im­pact sur les prix de l’im­mo­bi­lier dans la ca­pi­tale. Le mar­ché du neuf pour­rait tou­te­fois sor­tir ga­gnant, étant donné que ces nouvelles exigences ad­mi­nis­tra­tives ne concernent que le mar­ché se­con­daire…

Aux finances de la Région, Guy Van­hen­gel a constaté un recul de 24% (à 34,5 mil­lions d’eu­ros) du mon­tant des ver­se­ments en droits d’en­re­gis­tre­ments au mois d’avril par rap­port à avril 2014. Un pro­blème de taille quand on sait que pour la Ré­gion bruxel­loise, la prin­ci­pale re­cette pu­re­ment au­to­nome pro­vient des droits d’en­re­gis­tre­ments.

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