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“L’une des propositions phares de la N-VA concerne la simplification institutionnelle du pays. Plutôt que de se perdre dans un capharnaüm administratif, il s’agit de clarifier les niveaux de pouvoir d’un pays à dynamiser – ou à démanteler – selon les locuteurs. Deux grandes régions donc et des Bruxellois accueillis dans la région de leur choix. Cette simplicité charme les uns et épouvante les autres.”
Plutôt que d’applaudir ou dénoncer cette solution simple qui ne connaît de Belges que flamands et wallons, l’ethnologue Valérie Rosoux, qui a publié ce texte, propose de descendre dans la rue de la Poste – ou Poststraat – et d’observer. Une promenade riche en subtilités et en interrogations. Bonne visite.
merveileux ce texte! il en faudra la traduction en NL (même en Eng, Arabe) et le divilguer à très grande échelle, à Bruxelles, en Wallonie et en Flandre
Merveilleux article de Valérie Rosoux qui donne envie de la rencontrer.
Quelles sont les chances de le faire publier en néérlandais ?
Très sympa, on devrait en faire plus des rencontres comme cela mais,… un peu trop simpliste et en plus la rue de la poste, ne résume pas Bruxelles.
La référence “wallon” est politique, c’est ce que voudrait laisser entendre une orientation flamingante. Bruxelles, ce ne se résume pas à un problème Wallons et Flamands. Officiellement, il ne s’agit pas de faire un effort pour améliorer le bilinguisme flamand (disons néerlandais) / wallon, mais bien de favoriser bilinguisme néerlandais / français.
Sachant bien que d’autres langues sont très usitées à Bruxelles et que les enjeux de cette ville sont de lutter contre un chômage et une paupérisation galopante, il va de soi que si on ne favorise pas puissamment l’insertion linguistique en français et en néerlandais pour tt les primo arrivants et… les vieux arrivés, comme moi d’ailleurs, Bruxelles ne supportera pas les charges cadeaux des régions flamandes et wallonnes.